linda-keel

linda-keel

10- Le peintre en cage

 

 

Dans la maison de Freedie Ring

Au bout du monde, des lights, du spleen

Un rocker roule comme la mer

Lui joue Stick & Stone dans le désert

Et il ne veut plus repartir

Sur des petits mots qui ne veulent rien dire

 

Danse spinecker des tempêtes

Roule ton corps par vent de force sept

Chante ton opéra sauvage

Swing sons pour la seule femme qui a la rage

Swing song pour la seule femme qui a la rage

 

Dessiné par l'enfer d'un peintre en cage

Il marche au rythme fou d'un temps d'orage

Oh oui, sa peau respire du sel des marécages

les pieds nus, pas de mystères, pas de bagages
Et de tous ces souvenirs de guerre

Reste le grand fauve en solitaire

 

Quand par grand soir de lune, il magique

Quelques bons vieux standards de blues héroïques

Son regard s'allume d'une flamme hypnotique

C'est le loup qui hurle pour fanatiques

Et c'est la danse de tous les fous

Qui ont de l'eau de mer jusqu'aux genoux



23/05/2013
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 6 autres membres